Parkinson et flavonoïdes
Des chercheurs de l’École de santé publique de Harvard ont évalué la relation entre la consommation de flavonoïdes et le risque de développer la maladie de Parkinson. Ayant étudié les données de deux vastes études qui ont réuni 49 281 hommes et 80 336 femmes pendant plus de vingt ans, ils ont constaté que les hommes qui avaient consommé le plus de flavonoïdes présentaient 40 % de risque en moins de développer la maladie neurologique dégénérative et que les flavonoïdes les plus protecteurs pour ces messieurs étaient issus du thé, des pommes, des oranges, du vin rouge et des baies. Quant aux femmes, une réduction du risque de 24 % a été relevée, mais elle était liée à une consommation d’un type spécifique de flavonoïdes, les anthocyanes, principalement présents dans les baies (myrtille, mûre, framboise, cassis, cerise, raisin noir).
Source : lanutrition.fr